• Editions Gourcuff Gradenigo

À PARAÎTRE

MERVEILLES

Le musée national de Céramique fête ses 200 ans

 

Michel Charzat

 

978-2-35340-408-7

Format : 25 x 28 cm à la française

Nombre de pages : 160

Nombre d’illustrations : environ 150

Ouvrage relié

Imprimé sur papier couché mat 170 g

PVP : 39,00 euros TTC

 

André Derain est sans doute l’une des figures les plus fascinantes de l’art moderne. Tout au long de son existence (1880-1954), Derain a créé autour de lui un champ magnétique qui a infléchi durablement le destin de la peinture et de la poésie contemporaines. Occulté dans le roman de l’art moderne, cet épisode forme la trame du livre de Michel Charzat. Biographe de Derain, l’auteur raconte les rencontres légendaires du « géant mélancolique » avec Vlaminck et Matisse. Il tire de l’oubli ses relations passionnelles nées avec Picasso, Apollinaire, Breton, Satie, Balthus, Giacometti.

Foisonnant d’anecdotes révélatrices et de portraits incisifs, ce récit alerte est accompagné d’une riche iconographie.

Homme politique et collectionneur, Michel Charzat se passionne pour l’art figuratif français de l’entre-deux guerres dont il est un des plus grands spécialistes.

Ses précédents ouvrages consacrés à Dunoyer de Ségonzac, La Jeune peinture française ou Robert de La Fresnaye ont contribué à une meilleure compréhension de la peinture de cette époque, qui reste encore mal connue.

 

 

Les Bals de la Reine
Stéphane Castelluccio

 

ISBN : 978-2-35340-405-6

Format : 23,5 x 29 cm à la française
Nombre de pages : 160

Plus de 100 illustrations

apier : Couché demi mat 170 g Ouvrage relié

PVP : 49 euros TTC

 

Les origines des bals de la reine à la Cour de France remontent au XVIIe siècle. Il revenait à la souveraine d’animer la vie de Cour par des cercles, des concerts et des bals, particulièrement pendant la période du Carnaval.

En cas de disparition de la souveraine, la dauphine assurait ce rôle, comme la duchesse de Bourgogne à la Cour de Louis XIV de 1700 à 1712, année de sa mort. Cette tradition semble s’être effacée au début du règne de Louis XV, jusqu’à la fin de la guerre de Sept Ans en 1763. Les festivités en période de carnaval marquèrent un renouveau des bals offerts par la reine Marie Lecsczinska. À la suite du décès de la souveraine en 1768, la dauphine Marie-Antoinette poursuivit cet usage en tant que reine jusqu’en 1787.

L'album de Malmaison
Le domaine de Joséphine
Elisabeth Caude

 

ISBN : 978-2-35340-401-8

Format : 24 x 21,5 cm à l’italienne

Nombre de pages : 120

Nombre d’illustrations : environ 50

Ouvrage broché, imprimé sur papier  mat 150 g

PVP : 19,00 euros TTC

 

L’histoire des maisons est parfois surprenante : c’est au lieu dit « mauvais endroit », en souvenir des pillages vikings, que s’est élevée, au tournant du XIXe siècle, le château de Malmaison.

Cette maison tient à la volonté et à l’amour d’une femme, Joséphine de Beauharnais, épouse d’un général ambitieux, Bonaparte. Empruntant beaucoup d’argent pour acheter cette maison en avril 1799, réunissant les plus talentueux des architectes néoclassiques (Charles Percier et Pierre Fontaine), pour réaménager les intérieurs dans le goût de l’antique, rassemblant dans ses serres une véritable musée de la botanique, Joséphine crée une habitation unique d’une incroyable modernité par ses aménagements paysagers et domestiques.

C’est cet univers enchanté que les meilleurs dessinateurs de l’époque (Garnerey, Nicolle, Loeillot-Hartwig) ont immortalisé en plus de cinquante aquarelles, peintures et dessins qui constituent un témoignage précieux sur l’une des demeures les plus raffinées d’Europe.

Elisabeth Caude est conservateur général du patrimoine, directrice du musée national des châteaux de Malmaison et de Bois-Préau.

 

L’OPÉRA GARNIER

Dessins pour un chef-d’œuvre

Mathias Auclair

 

 

ISBN : 978-2-35340-411-7

Format : 24 x 32 cm

Nombre de pages : 144

Nombre d’illustrations : 100

Ouvrage broché

Imprimé sur papier couché 1/2 mat 170gr

PVP : 39 euros

 

Les très nombreux plans produits par Charles Garnier et son agence pour construire l’un des Opéras les plus célèbres dans le monde n’ont jamais fait l’objet d’une publication spécifique. Ils le méritent pourtant du fait de la splendeur de leur réalisation – ce sont, pour certains, des œuvres d’art à part entière – et par leur intérêt pour l’histoire de l’un des bâtiments les plus emblématiques de l’urbanisme parisien et de l’architecture du Second Empire.

Les plans de Charles Garnier sont conservés pour leur plus grande part à la Bibliothèque-musée de l’Opéra (qui relève du département de la Musique de la Bibliothèque nationale de France), comme l’architecte en avait exprimé le désir, mais aussi à l’École nationale supérieure des beaux-arts, dans le fonds légué par la veuve de l’architecte, et à la Médiathèque du Patrimoine et de la Photographie au sein des versements des différents architectes en chef des Monuments historiques qui ont veillé sur le Palais Garnier après le décès de son architecte...

 

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