Les années Sagan
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Denis Westhoff
ISBN : 978-2-35340-391-2
Format : 24 x 30 à la française
Nombre de pages : 160
Nombre d’illustrations : environ 180
Imprimé sur papier demi-mat 150 g
Ouvrage relié : couverture papier couché 135 g
avec impression en quadri,
rembordé sur carton 30/10e
PVP : 39,00 euros TTC
Dans une France des années 50, quelque peu corsetée sous la présidence de René Coty, une femme issue de la bourgeoisie industrielle, va renverser la table des convenances :
Françoise Sagan, à peine âgée de 18 ans, publie au printemps 1954, à la sortie d'un hiver glacial, un petit roman sur les amours libres d'une jeune fille de bonne famille qui devient en quelques mois un best-seller mondial. Deux ans plus tard, une jeune actrice, Brigitte Bardot, devient sous la caméra de Roger Vadim la Femme libérée. Élevée au rang de star internationale, elle transforme par la même occasion un petit port de pêche en un lieu de villégiature iconique. Le mythe de Saint-Tropez est né, fréquenté par les deux femmes qui incarnent, chacune dans leur domaine, le statut envié d'icônes françaises pour les décennies suivantes, ouvrant la période éblouissante des 30 glorieuses.
Bonjour Tristesse fait en quelques années de Françoise Sagan, l'autrice la plus lue dans le monde, avec plus de trois millions d'exemplaires vendus. «Ce charmant petit monstre» comme l'a adoubé François Mauriac dans une célèbre tribune du Figaro devient ainsi le monstre sacré de la littérature française et l'égérie d'une génération éprise d'un nouveau souffle de liberté, celle d'un Paris de la rive gauche ivre de fêtes et d'excès en tout genre. Françoise Sagan, dont on célèbre cette «fameuse petite musique» au fil de ses romans, a traversé toutes ces années avec gaité et légèreté, entouré de ses amis, de ses maris et de ses compagnes. Cette forme d'insouciance cache en réalité une farouche soif d'émancipation doublée d'une grande générosité, qu'elle revendiqua jusqu'à la fin de sa vie
Bijoux de scène de l'Opéra de Paris
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Isabelle Stibbe – Jérôme Fronty
ISBN : 978-2-35340-409-4
Format : 16,5 × 24 cm
Nombre de pages : 112
Nombre d’illustrations : 100
Ouvrage broché
Imprimé sur papier couché ½ mat 170 g PVP : 19 euros
L’Opéra national de Paris et la Bibliothèque nationale de France possèdent une collection prestigieuse d’environs 4 000 bijoux de scène.
Couronnes, bracelets, bustiers ou diadèmes, portés par d’illustres chanteuses et chanteurs, danseuses et danseurs fascinent par leur éclat et contribuent à l’aura des interprètes. Si le bijou de scène relève des « accessoires », son rôle est souvent fondamental dans les opéras ou ballets au xixe siècle. Dans de nombreux livrets, l’éclat et la valeur du bijou servent de catalyseurs pour susciter chez les personnages convoitise, concupiscence, coquetterie… Ces bijoux font ainsi office de ressort théâtral.
MERVEILLES
Le musée national de Céramique fête ses 200 ans
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Sous la direction
d’Anaïs Boucher
ISBN : 978-2-35340-410-0 Format : 24 × 22 cm à l’italienne Nombre de pages : 192
Nombre d’illustrations : Plus de 200 Ouvrage broché
PVP : 25,00 euros
À l’occasion de son bicentenaire, le Musée national de la céramique de Sèvres organise une exposition « Merveilles » qui renouvelle la présentation de ses collections et propose aux visiteurs un voyage en céramique surprenant et ludique. En effet beaucoup d’œuvres conser-vées dans le musée échappent aux classements traditionnels par matériau ou par époque et sont difficiles à intégrer dans une typologie rigoureuse.
Le propos de cette exposition et du livre qui l’accompagne est donc d’abandonner une organisation rationnelle et de présenter la col-lection selon un mode thématique avec une dizaine de chapitres illustrés avec des sujets aussi variés que : le fantastique et le féérique, les précieux, les fleurs, les inattendus… Celui-ci permettra ainsi de célébrer le musée de façon originale en présentant des œuvres inédites conservées dans les réserves du musée et rarement présentées au public. Un véritable « Cabinet de curiosités » qui séduira autant les connaisseurs du monde de la céramique qu’un plus vaste public sensible aux arts décoratifs et à l’artisanat d’art.
Les Bals
de la Reine
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Stéphane Castelluccio
ISBN : 978-2-35340-405-6
Format : 23,5 x 29 cm à la française
Nombre de pages : 160
Plus de 100 illustrations
Papier : Couché demi mat 170 g Ouvrage relié
PVP : 49 euros TTC
Les origines des bals de la reine à la Cour de France remontent au XVIIe siècle. Il revenait à la souveraine d’animer la vie de Cour par des cercles, des concerts et des bals, particulièrement pendant la période du Carnaval.
En cas de disparition de la souveraine, la dauphine assurait ce rôle, comme la duchesse de Bourgogne à la Cour de Louis XIV de 1700 à 1712, année de sa mort. Cette tradition semble s’être effacée au début du règne de Louis XV, jusqu’à la fin de la guerre de Sept Ans en 1763. Les festivités en période de carnaval marquèrent un renouveau des bals offerts par la reine Marie Lecsczinska. À la suite du décès de la souveraine en 1768, la dauphine Marie-Antoinette poursuivit cet usage en tant que reine jusqu’en 1787.
TOKYO naissance d'une ville moderne
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1er septembre 1923. Un terrible tremblement de terre frappe
la région du Kantô, faisant plus de 100 000 morts et détruisant
plus de 40 % de Tokyo. Les derniers quartiers qui avaient
conservé l’atmosphère d’autrefois disparaissent, mais la
reconstruction va permettre à la capitale d’accélérer sa
modernisation. Une culture de la consommation se développe
également, avec ses grands magasins, cafés, salles de
spectacles et autres lieux de divertissement des quartiers de
Ginza, d’Asakusa et de Shinjuku que fréquentent les « mobo »
(modern boys) et « moga » (modern girls), ces jeunes gens à
la mode vêtus à l’occidentale.
Ces transformations urbaines sont souvent représentées dans
les gravures des mouvements shin hanga (estampe nouvelle)
et sôsaku hanga (estampe créative), apparus au tournant du
XXe siècle. Ces estampes, qui donnent un souffle nouveau à
l’art de la gravure sur bois, oscillent entre fascination envers
ces bouleversements et nostalgie pour le Tokyo d’autrefois.
L’OPÉRA GARNIER
Dessins pour
un chef-d’œuvre
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Mathias Auclair
PRÉFACES
Alexander Neef
Directeur général de l’Opéra national de Paris
Gilles Pecout
Président de la Bibliothèque nationale de France
Format : 24 × 32 cm
Nombre de pages : 160 Nombre d’illustrations : 190
ISBN : 978-2-35340-411-7 Ouvrage broché
PVP : 39 euros
Les très nombreux plans produits par Charles Garnier et son agence pour construire l’un des Opéras les plus célèbres dans le monde n’ont jamais fait l’objet d’une publication spécifique. Ils le méritent pourtant du fait de la splendeur de leur réalisation – ce sont, pour certains, des œuvres d’art à part entière – et par leur intérêt pour l’histoire de l’un des bâtiments les plus emblématiques de l’urbanisme parisien et de l’architecture du Second Empire.
Les plans de Charles Garnier sont conservés pour leur plus grande part à la Bibliothèque-musée de l’Opéra (qui relève du département de la Musique de la Bibliothèque nationale de France), comme l’architecte en avait exprimé le désir, mais aussi à l’École nationale supérieure des beaux-arts, dans le fonds légué par la veuve de l’architecte, et à la Médiathèque du Patrimoine et de la Photographie au sein des versements des différents architectes en chef des Monuments historiques qui ont veillé sur le Palais Garnier après le décès de son architecte...
FARAH
Frederic Mitterrand
9782353404032
Nombre de pages
23,5 cm x 230 cm
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Farah Pahlavi, impératrice d'Iran, est l'une des personnalités
parmi les plus remarquables de notre époque. Jeune étudiante
aux Beaux-Arts de Paris, Farah Diba devient à vingt et un ans en
décembre 1959 l'épouse du Shah d'Iran. Mère de quatre enfants,
elle partage les grandes heures et les vicissitudes du règne de
Mohammad Reza. Elle accomplit à ses côtés une oeuvre sociale
et culturelle considérable et l'accompagne ou le représente dans
de nombreux déplacements officiels à l'étranger. Son action lui
vaut d'être couronnée par le Shah en 1967, première épouse d'un
souverain dans un pays musulman attestant aux yeux du monde
entier un progrès éclatant de la condition féminine.
Après la révolution iranienne survenue en 1979 et la mort du Shah,
malgré des circonstances dramatiques, le décès de deux de ses
enfants, et les rigueurs de l'exil, Farah Pahlavi défend sans relâche
la mémoire de son mari et de son règne et maintient une présence
constante auprès de son fils Reza. Sa dignité et son courage lui
valent le respect et l'adhésion de très nombreux Iraniens jusque
dans son pays malgré les menaces persistantes d'une dictature
obscurantiste et cruelle.
Pour la première fois et avec de nombreuses images inédites, elle
ouvre pour nous l'album de sa vie assorti de ses commentaires
manuscrits
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