Charles de Beistegui a révélé Alexandre Serebriakoff comme un peintre d’intérieur exceptionnel en lui commandant des vues de Groussay qui témoignent aujourd’hui de l’élégance et du raffinement de sa maison. On ignore parfois que sa passion de bâtir ne s’exerce pas uniquement sur le château qu’il transforme et fait embellir, modifiant sa façade et lui adjoignant deux ailes. Parallèlement à ces travaux d’embellissement, il en entreprend d’autres dans le parc où il fait élever des fabriques dans le plus pur goût en vogue au xviiie siècle. Ainsi, entre 1950 et 1969, le jardin se trouve-t-il peuplé d’une douzaine de bâtiments : tente tartare, volière, pont palladien, colonne, temple de l’Amour, pagode chinoise…

Comme il le fait pour les intérieurs du château, Charles de Beistegui demande à Alexandre Serebriakoff de réaliser des vues à l’aquarelle de ces folies, présentées dans cet ouvrage.

Pierre-Arizzoli-Clémentel étudie ici l’histoire des fabriques du parc de Groussay. Ses recherches sur leurs origines, les sources d’inspiration de Charles de Beistegui et les évolutions des différents projets sont illustrés des aquarelles d’Alexandre Serebriakoff et de nombreux documents d’archives. Il étudie également les projets non réalisés ou abandonnés dont nombre sont jusqu’à aujourd’hui ignorés du public.

 

Avec cet ouvrage, Pierre-Arizzoli-Clémentel achève son cycle d’étude de la collaboration entre Charles de Beistegui et Alexandre Serebriakoff entamé avec la publication de Groussay en 2019 et Le Palais Labia à Venise en 2021.

 

 

Format : 290 × 215 à l’italienne - Nombre de pages : 112

Ouvrage relié, imprimé sur papier mat 170g

Prix : 95,00 euros

ISBN : 978-2-35340-377-6

édition limitée sous étui

Charles de Beistegui a révélé Alexandre Serebriakoff comme un peintre d’intérieur exceptionnel en lui commandant des vues de Groussay qui témoignent aujourd’hui de l’élégance et du raffinement de sa maison. On ignore parfois que sa passion de bâtir ne s’exerce pas uniquement sur le château qu’il transforme et fait embellir, modifiant sa façade et lui adjoignant deux ailes. Parallèlement à ces travaux d’embellissement, il en entreprend d’autres dans le parc où il fait élever des fabriques dans le plus pur goût en vogue au xviiie siècle. Ainsi, entre 1950 et 1969, le jardin se trouve-t-il peuplé d’une douzaine de bâtiments : tente tartare, volière, pont palladien, colonne, temple de l’Amour, pagode chinoise… Comme il le fait pour les intérieurs du château, Charles de Beistegui demande à Alexandre Serebriakoff de réaliser des vues à l’aquarelle de ces folies, présentées dans cet ouvrage. Pierre-Arizzoli-Clémentel étudie ici l’histoire des fabriques du parc de Groussay. Ses recherches sur leurs origines, les sources d’inspiration de Charles de Beistegui et les évolutions des différents projets sont illustrés des aquarelles d’Alexandre Serebriakoff et de nombreux documents d’archives. Il étudie également les projets non réalisés ou abandonnés dont nombre sont jusqu’à aujourd’hui ignorés du public. Avec cet ouvrage, Pierre-Arizzoli-Clémentel achève son cycle d’étude de la collaboration entre Charles de Beistegui et Alexandre Serebriakoff entamé avec la publication de Groussay en 2019 et Le Palais Labia à Venise en 2021. Format : 290 × 215 à l’italienne - Nombre de pages : 112 Ouvrage relié, imprimé sur papier mat 170g Prix : 95,00 euros ISBN : 978-2-35340-377-6 édition limitée sous étui